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 Mya ma belle africaine...

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AuteurMessage
les mots se lève

les mots se lève


Messages : 6
Date d'inscription : 26/09/2011

Mya ma belle africaine... Empty
MessageSujet: Mya ma belle africaine...   Mya ma belle africaine... Icon_minitimeLun 26 Sep - 4:41

bonsoir.
voici un premier texte que vous apprécierais je l'espère.
donc, le texte ci-dessous est dédier à une personne qui se reconnaîtras s'en doute.
aussi, le fait d'avoir vue sa photographie ma inspiré ce texte qui n'à, je le dit, aucune prétention autre que celle de m'avoir inspiré.


À TOI BELLE MYA
Ma belle africaine.
Si ton pays te porte, sache aussi que tu portes en toi ton pays.
Tes veines sont ses milles courants et ruisseaux qui irriguent cette terre si amère.
Ta peau et comme le sable du désert, beau à voir, beau à laisser glisser entre ses doigts telle une écharpe de soi.
Oui, ta peau et comme le sable du désert, chaude et brulante à l'intérieur.
Tes lèvres sont cette appelle de l'amour qui par ta bouche en donne et trouve un belle écho.
Les mots "Je t'aime" dans ta bouche sonne comme le plus beau des cantiques.
Ta chevelure ma belle métis est telle celle de Méduse elle nous ensorcelle.
Chacune de tes mèches ressemble à c'est milles pistes qui font l'Afrique.
Qu'elle piste prendre aujourd'hui ?
Oui, vers quel voyage va tu nous emmener ?
Mya -Mya - Mya.
Ce prénom résonne dans ma tête, cogne à mes tempes et rythme les pulsions de mon cœur.
Ton large front et comme les plages balayée par les vents qui appelle vers l'horizon si fin et à la fois s'en fin.
Tu nous donne envies de te découvrir plus à même.
Et part toi, de découvrir tous les ancêtres, ceux-là qui ont fait ce que tu es.
Je vois dans tes yeux la tristesse d'un pays désoler quelques par perdue.
Mais j'y vois aussi aux fond de ses mêmes yeux là le scintillement d'un pays brulent en lui d'un sang nouveau d'une envie d'être vue comme pays porteur à la face du monde.
Puis ta nuque, ton coup son s'est dunes d'où il fait bon errée, sur lequel j'aime à marcher.
Puis tes hanches, tes reins, tes seins, tes mains sont des appels à l'amour pur.
Alors, s'enfoncer délicatement puis fermement dans tes entrailles au plus profond de toi quel bonheur.
Oui, frôler, toucher, embrasser ce bouton d'or n'est autre que cette clé qui m'ouvre à ton corps.
Puis entrée en toi, suavement, délicatement ses comme tenter de naitre de toi.
Tu es, ma belle Mya, ma belle africaine, la mère porteuse de la terre en devenir.
J'imagine un jour les tempêtes qui secoueront les eaux amniotiques porté en toi, loin en toi.
Pour faire naitre l'enfant roi l'enfant de l'amour qui saura te rendre grâce, oh ! Toi maitresse africaine.
S'est eaux-là ne seront pas annonciatrice de déluge comme à pus le prédire la bible, non.
S'est eaux-là serons de la simple grâce béate.
Encore, sentir en toi mon pieu de chaire se perdre dans l'abime de la près jouissance n'est pas plus beau cadeau à vivre que tu puisses m'offrir.
Je s'en au plus profond de toi gronder l'orage, se tendre les éclairs.
Mes désirs se tendent au plus fort de leurs volontés être en toi à toi.
Oui, ne plus être, ni toi ni moi, n'être que se feu, cette lave qui fait rugir les volcans comme le plus beau des lions peut rugir au coucher du soleil comme pour dire à tous "Dormez en paix car moi je veille".
Ta silhouette et comme celle de la jeune gazelle fébrile et combien souple.
Mya raconte-moi l'amour.
Mya raconte-moi le monde.
Mya raconte-moi la lumière.
Mya dis-moi que l'amour gagnera le monde ?
Oui, Mya, raconte-moi les désirs insoupçonné qui nous traversent.
Car rien qu'en regardent ton corps se mouvée dans les rues de la ville je n'ai qu'une envie d'être-là tout près de toi ma belle Mya.
Laisse enfin ton cœur tels les tam-tams ancestraux appeler alentour au bonheur de la femme que tu es.
"Mya !", Mya !", Mya !".
Susurrent comme tapis puis sourdre les voix de la nuit roide.
"Je suis moi, je suis moi, je suis moi".
Réponds-tu.
"Je suis là - je suis là – je suis là".
Cries-tu, réponds-tu à cette même nuit-là comme d'un écho dévastateur.
Oh ! Divine "Mya" maitresse de la terre, implore pour nous les bras levés haut vers le ciel protecteur.
Oui - oui - oui.
Implore, chante, danse je t'en conjure la doulce mélopée de l'amour qui enveloppera ton corps et te feras devenir drap de satin se posent sous la voie lactée de nos visages abêtis.
Mya - Mya - Mya.
Enivre-nous nous t'en prions, nous t'en conjurons.
Oui - oui - oui.
Enivre-nous Kya ma reine, ma belle africaine et délivre nous non pas du mal, mais de se flux d'amour tendue d'entre nos cuisses tremblantes et brulantes à n'en plus pouvoir.
Oui, cet amour-là monte, monte, monte gronde même de nos entrailles.
Tu et celle qui porte les flux de nos intimités vers ta beauté superbe.
Mya - Mya - Mya.
S'il te plaît, ma belle africaine, nous t'en conjurons, oui, délivre nous non pas du mal, non.
Mais du simple poids de nos semences qui remonte lentement tel le saumon remontent les rivières Irlandaises, nos semences ne remonte que les durs canaux de nos verges - lances qui alors te tailladerons et coulerons en toi comme d'un geyser d'amour intense.
À TOI BELLE MYA
Ma belle africaine…
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