Je me demandais, si une pomme tombe sur ma tête, et que ma tête tient sur mon corps. Est-ce que par l'effet gravitationnel, et sémantique; on peut dire que la pomme tombe sur mon corps ? Dans ce cas, je viens à mon propos, si mon corps reçoit une pomme par la force qui pousse ma tête au moment de l'impact, est-ce que ma tête qui repose sur mon corps reçoit tout de même une pomme ? Soit, cela va de soi, mais dans ce cas est-ce que la pomme, qui tombe sur ma tête, qui force sur mon corps, reçoit ma tête? Sur la pomme bien sur. Bien sur que non, il faudrait pour cela que le monde soit à l'envers, et qu'où l'on voit nager les oiseaux, les poissons y volent. Ce qui ne se fait pas. La gravité tire en bas et c'est bien ainsi. Changeons pour peu de galaxie. Prenons une galaxie ou la gravité repousse les astres au lieu de les maintenir. Et où l'ordre fondé, n'est pas gravitationnel, mais pulsationnel. Ainsi par pulsions intermittente, les astres se repoussent les uns des autres. Ce qui fait que les astres s'éloignent les uns des autres, et vivent au gré des galaxies, univers et étendus qu'ils rencontrent. Ce serait un peu comme les nomades sont pour les hommes, mais aux galaxies. Pour cela il faut imaginer des habitants qui ont appris à survivre dans l'espace, admettons un adn modifié et adapté. Puisque de même ces pulsations vers l'extérieur qui seraient la gravité de cette galaxie fait en sorte que, chaque pulsation pousse les êtres vivants un peu plus haut. Alors au début, on fait un bon, et on ne retombe pas, puisqu'aucune gravité ne tire en bas. Deuxième pulsation, on monte un peu plus haut. Il faudrait donc apprendre à vivre comme ça vient... Le premier jour on cueille des plantes, après une pulsation on mange un oiseau, ensuite le collègue qui passe par là, et ainsi de suite jusqu'à l'espace. Maintenant une fois dans l'espace, essayez de vous imaginer, disons une vingtaine de planète, dont la gravité pousse en sens inverse par pulsation intermittente. On se retrouve poussé un peu n'importe comment, en dehors de chaque planète. Sauf si une planète à une gravité plus puissante qu'une autre, disons planète x2. Ce qui nous pousserait dans l'atmosphère de l'une qui serait planète x1, qui nous en ressortirait, pour nous y retrouvé poussé par cette autre planète x2.
Voilà un raisonnement bien mené, tout cela pour en revenir à ma pomme, sans plus savoir pourquoi. Vous comprenez ? Trop s'éloigner d'une idée pour y revenir, c'est perdre les fondements même et les contraintes qui régissent la naissance même de cette idée. A démontrer ce qu'on veut par n'importe quel procédé, on arrive souvent dans un chantier qui n'était pas le notre.
Cordialement,
P. Vans, Wanderson.