Ping-Pong, et la balle s'enballe.

Ceci est un jeu plus qu'un sport, le premier frappe dans la balle et obtiens un ping, le second un pong, le troisième un ping... Logique... Mais que peut-on bien faire d'un ping ou d'un pong ? Un petit poème ? soyons fou ! osons acrostiche en ping et en pong !


P artir, fuir, courir
I mmédiatement
N 'était pas une obligation mais en temps de
G uerre, on fait ce que l'on peu !

P épé !
O n ne rit pas du
N ez de monsieur
G ill !

P ourquoi
I l
N e fait que
G ueuler ??

P arce-qu'
O utrancier et
N égligé est le
G arçon

P our un
I ndigéne de ton espéce
N e pas dire bonjour c'est déclarer la
G uerre !

(salut iexid ! ah !)

Penser qu'une simple balle,
Objet de tant de coups distribués,
Ne pourrait qu'entraîner vers une dérive sportive machiste,
Grâce vous soit rendue d'en avoir prouvé le contraire!!

P rends un pim's et tires toi
I ngrat pongiste fétide
N 'oublies pas les trois pas
G ueuse ; tires toi.

Pas besoin de biscuits dégoulinants,
Ou de pseudo sport abrutissant,
N'en déplaise aux étriqués du cervelet,
Gobez cela et soyez en replets...

P ilate lui-même y a gouté,
I ngérance absurde, de la gourmande fatuité
N ihilisme gratuit, où s'y mêle les spores indiens
G oûtes-y sobriquet, que ton âme s'ennivre, un pim's rance, c'est mieux que rien.

Point de solution, ma bouche reste fermée,
Orgies sucrées en a t elle trop goûtée?
N'en déplaise aux tentatrices acharnées,
Gavée jadis, depuis reste scellée...

P ourquoi
I l
N e
G uerroie pas ?

P arce qu'il préfère qu'
O n le laisse déguster son plat de
N ouilles parfumées à la
G élatine.

P ar faim
I l se les gèle à Tigne
N ouille qu'il est, il va dé
G uster son plat dans la piscine qu'il préfère.

Pleure doucement, mon enfant,
On en rira demain.
Ne te plonge pas dans la mélancolie
Gare à toi si tu t'y perds.

(wow, je vais méditer là-dessus, pleurer doucement... je lui dirais! quelle sagesse dans un rien presque cliché)

Palimpsestes en ta mémoire, la douleur nouvelle remplace l'ancienne
Ingrat oubli qui t'abandonne, si dans ce flot d'idées neuves et bileuse comme la
Nuit, tu t'égares petit poucet de la peine; car derrière, se cache une hyène
Grande et belle comme une plante, comme l'ancolie qui y fleurit...calmes toi, on en rira.

Par le vent et la mer qui frappe le rivage
Ou peu être par la pluie qui strie ton paysage
Ne me dit plus je sais, ne me dit pas je t'aime car trop
Grand son les gouffres de mes renoncements.

Parle enfant! Et ta mère frappe ton visage
Irrévérencieux. Ta vie; ton illusion. O sage
Ne confond pas haine en confusion...
Gage que l'amour, la peur sont plus profond!

Parlant, Fente amère fera (peut-on) vis âge.
Onirisme boiteux, loin de la vie; bordé d'illusions,
Nec, on fond, vaine technologie à profusion,
Gars; je que la mou, relas, peut, rson, plup rot, fond.

P ercement
I nsensée
N erveux et
G rave

P arce que j'en ai marre qu'
O n se paye ma tronche sous prétexte que je
N e voie pas les choses de la même façon, de toute façon, la parole de ces
G ens ne vaut guère mieux que la mienne !

P arceque parfois
I l brille une lumière étrange au fond de tes orbite creux
N 'est-ce pas preuve que c'est la
G uerre ? et que la paix n'est pas ici ?

P uis-je me permettre d'
O mettre une petite suggestion ?
N' en déplaise aux
G randes gens !

Puisqu'on se permet tout
Incultes savant du goût
N'omettons rien que les choux
Glèbe parsemée de trous.

Parce que l'
On ne vit qu'une fois
Ne perds pas ton temps,
Gêolier, à me tirer mes chaînes.

P erdu dans l'
I réél souvient toi petite fille, souvient toi de
N e pas dire toujours, ne pas dire jamais... ne
G uerre espérer plus que tu ne saurai offrir...