l'horloge, le temps qu'il fait, le date, le jour ou au moins l'année... tout passe...

on doit être en été, j'ai quand même vachement faim

Rire

En été je n'ai jamais faim. J'ai faim seulement quand je travaille ou quand je vais aux cours.
L'été, je l'aime bien parce qu'il fait chaud. Je hais ke froid. J'ai du mal à le supporter. Je dois toujours mettre 36 pulls. J'aime bien l'été parce que je peux marcher en sandales, je peux laisser de côté mes chaussettes, les oublier au fond du placard. J'aime l'été car je peux me dispenser de trimballer ma veste à droite et à gauche, de l'enlever ou de le remettre sans cesse chaque que je sors ou rentre d'une pièce. Par contre, je n'aime pas l'été parce que j'ai le rhum des foins. Et ça, c'est la pire des calamités !

j'aime l'hiver, le froid, le gèle, la toux (des autres), les chandelles qui pendent au nez des enfants, les pulls, les gilets, mes manches courtes dés que j'entre dans un bâtiment chauffé, le rire qui se répercute sur le ciel bas... En hiver quand il fait froid, je n'attend ni la pluie ni le beau temps, je suis bien.

Je hais l'été, la chaleur, mes chaussures de sécurité puante, la sueur le long du dos, les chantiers sur lequel il faut rester, au soleil, les brulures, la fatigue, les jours trop long sans nuit sombre, les gens qui partent en vacances, les gens qui reviennent, le temps me déprime en été. En été, quand il fait chaud, j'attends la pluie et c'est long.

J'aime pas quand il pleut sur Bruxelles. Là-bas, quand il pleut, tout devient gris et sale, tout devient moche.

Quand il pleut sur la ville, le fond en teins blafard gris devient vieux... il prend de l'âge de poussière et du temps en dedans... Quand il pleur sur la ville, mélancolia revient et se hise partout de ses petits yeux doux et sourit, et regarde, et rigole, qu'on est bien ! Quand il pleut sur mes villes, quand il pleut sur Paris, sur Londres, Sur Manhatan, sur Bruxelles, sur Boulogne, sur tant d'autre... Quand il pleut sur mes villes, je me calme enfin... Mélancolia mia s'enfuie un peu ailleurs troublant ceux que le soleile attire et qui me regarde, regard de traviole, sourire et fredonner une rangaine ancienne entre mes dents sérré... J'en rit de pluie... cela me berce...

Melancolia ou pas, Bruxelles sous la pluie, c'est moche.
Par contre, l'Irlande ... Surtout au Nord, en plein campagne, quand il pleut, ça sent la fleur. Toutes les couleurs ressortent et c'est joli.
J'aime la pluie quand il n'y a pas devant moi de stupides buildings qui gâchent tout.
Mais c'est vrai que ça calme, surtout les grosse pluies et les orages, en été. J'ouvre alors ma fenêtre grande ouverte, pour juste entendre le clapotis de la pluie sur le balcon. Mais je ferme les yeux. Car sinon la magie de la pluie disparaitrait et je n'aurais plus que Déceptiona devant moi en train de ma narguer.

J'ai été à Bruxelles, sous la pluie... je n'est pas vu de gris mais des bruns, je n'est pas vus de laideur mais de la douceur... la pluie ne change pas une ville mais notre regard sur elle...

J'aime tant la ville que la pluie la rend plus belle encore (le soleil l'alourdis me rend malade me rend triste presque).

La pluie à la campagne c'est différent, c'est violent et la violence en est belle aussi diférente...

C'est joliment dit ça : "La ville ne change pas mais notre regard sur elle"

Ouioui à la tête de bois vient de recevoir sa première leçon du soir lol

C'est vrai que pendant longtemps j'ai détesté ma ville. J'ignore pourquoi mais le fait est ...
Je commence à peine à l'apprécier, petit à petit. Je me dis que ma ville n'est pas si mal, elle a son originalité, son propre charme.
Ces temps-ci je m'interroge aux raisons qu'ont les gens à vouloir quitter leur pays ( je ne parle pas des réfugiés, simplement des étudiants qui décident d'aller étudier à l'étranger et pas nécessairement dans le but d'apprendre la langue, seulement pour changer, quitter leur ville, et vivre autre chose) Je me dis que finalement, on n'est jamais mieux que dans la ville où on a grandit. Et son véritable foyer sera toujours la ville de son enfance (pour quelques uns du moins)
Peut-être qu'en définitive, moi qui détestais Bruxelles, je ne parviendrais plus à m'en séparer.

La ville de son "enfance" (je déteste ce mot qui est creux, il n'est qu'un mot d'adulte, un mot d'adulte déprimé, on ne vie pas "d'enfance" on est enfant, ça n'a rien à voir, l'enfant ne vie jamais autre chose que sa vie, elle devient enfance quand il se met à vouloir ce souvenir). Bref, je digresse comme toujours...

La ville de l'enfance n'est pas forcément un accueil... tout comme le sein, le giron de la mère peu être des plus amers et frustrant...
La ville de mon enfance je n'est jamais cessé de l'aimé, Paris pour moi c'est un doux mot d'amour qu'on peu dire à l'infinie puisqu'il y a mille visages, milles histoires, milles et milles inventions à découvrir et à créé...

Mais pour d'autre, pour ceux là même qui non pas trouver ce qu'il cherchait, le lieu de leur naissance est leur pire cauchemar, il fuit le plus loin, le plus beau, le plus fou... voyageant par vent et mer grosse... Si j'avais eu les finances pour (enfin mes parents) ou le talent (bourse au mérite) j'aurai fuis bien plus loin que 300 et 600 bornes... J'eu fait des études au Québec, là où on parle français aussi ! j'aurai fuit loin, loin de mon amour de ville, oui et je n'aurais pas tourner dos juste... fuis... Parce que dans la ville de notre jeunesse il y a nos parents parfois, des amis, des amis des parents... des gens malsain, mal-aimable, des gens qui suce la beauté de notre ville par les pluie - torant de boue. Oui, j'ai fuit ceux là, ceux qui m'aimait et parfois ce que j'aimais aussi, mais je n'est jamais fuis dans Paris autre chose que leur reflet blafard, E. - P. - E. & E. - M. et d'autre sans doute... loin de leur ailes, loin d'eux comme un corbeau fuyant les pierres qu'il pense le visait...


L'endroit de notre jeunesse peu être une ville de brume, une campagne, une banlieu... un coin de pelouse rase... un peu d'herbe folle... certain fuit la ville d'autre fuit la campagne... et le temps... tourne...



Barbara - Enfance (de mémoire, excusez les approximations possible, elle reviens dans la maison familial)
"il ne faut jamais revenir
au temps perdu des souvenir
ceux de l'enfance sont les pires
ceux de l'enfance vous déchire"

Tu as raison.

On s'attache à sa ville, à sa maison, à son pré, à partir du moment où on se met à l'apprécier. Mais même en s'attachant à un lieu précis, certaines gens ressentent toujours le besoin de partir. Pourquoi ? Fuient-ils quelque chose de particulier ? Eux-mêmes ? Leur ombre qui se réflète dans celle de ceux qu'ils croisent ?
Quand je parle ainsi, je pense au film Into The Wild (ou Wind) - je ne sais plus. Le gars, il ne pouvait jamais rester en place même quand on l'invitait à rester. Il devait toujours partir. Il ne se sentait jamais à sa place, excepté lorsqu'il était seul face à la nature.

La ville de son enfance ou autres termes du même acabit ne sont que chimère. Un endroit devient véritablement porteur de signification à partir du moment où on y attache ses souvenits et qu'on se met à apprécier cette adéquation entre les murs et les pensées.

(Mais là je radote peut-être un peu trop ^^)

Parfois, on ne fuit que son passé qui nous reste collé au basque...

Son passé ou sa famille. Quoique les deux soient inextricablement liés.

le passé est même plus que collé aux basques...le passé me semble comme des basques que l'on porte et qui nous font marcher.

Je me demandais si on pouvait rajouter une rubrique - Auteurs - que chacun entamerait par un auteur qu'il aime où on rajouterait ce qu'on veut citations, descriptions des livres et cetera...?

Et lullibulle a quand notre prochain thé ? ;p

Malimelocaliptus a écrit:

Je me demandais si on pouvait rajouter une rubrique - Auteurs - que chacun entamerait par un auteur qu'il aime où on rajouterait ce qu'on veut citations, descriptions des livres et cetera...?

Je vote pour. Ce sera quand même plus facile que de tout poster dans un seul et même sujet. Lulli, si tu es d'accord, à toi de jouer, étant donné que je n'ai plus accès aux commandes ^^

ahahahahahah c'est vrai wiwi, je me souvenais plus de cet épisode, ok pour une rubrique oeuvre des autres. Voilà qui est fait !


et malancolie... quand tu veut... ça fait un bail le thé !


j'vais au catacombe aujourd'hui... hmmmmmm ça fait un bail que je voulais le faire !

Ouh t'es de retour à Paris alors ?? Bon mail moi ton numéro! et les catacombes tu me diras ce que ça donne, ça m'a jamais tenté en 24 ans d'parisianisme ;p

je vis à Paris depuis pas mal de mois, plus d'un an que j'y suis de retour, et en tout 21 ans je crois bien...


Les catacombes me tentait depuis bien longtemps, et voilà c'est fait !
C'est à voir... Les os sont si nombreux... et si bien ordonnancée... puis y'aurai peu être de La Fontaine et de Pompadours...

glauquissime et manichéen, le rêve.... :S

Moi j'ei envie d'aller visiter le cimetière du Pierre Lachaise. Depuis le temps que j'en entends parler.

j'habite tout prés du cimetière du père lachaise...

Un jour peut-être, j'irai à Paris. J'ai aussi envie de voir Versailles et le musée Rodin (avec son jardin et ses statues) Et puis ... j'en ai marre du froid ! J'ai attrapé la crève !

09h01
les cours reprennent leurs cources effreiner de trois semaines, j'en fatigué d'avance mais le temps passe et ric et rac, bientôt plus de cours dutout !

J'ai des travaux à rendre. Je ne suis pas prête du tout. Je suis à la bourre !
Le temps passe trop vite. S'il pouvait s'arrêter une après-midi, ce serait parfait.

pause, et la pose pris pied.

il est juste un peu plus tard que tout à l'heure, c'est dire !